« Alors que la Commission avait proclamé en 2017 vouloir prôner une totale transparence en la matière, elle a depuis fait marche arrière. En tolérant l’utilisation de QR codes pour fournir des informations essentielles, telles que les ingrédients et les valeurs nutritionnelles, elle relègue ainsi ces données hors de l’étiquette physique.
Cette pratique soulève des préoccupations en matière de santé publique et d’accès à l’information, notamment pour les consommateurs ne disposant pas des outils nécessaires pour scanner ces codes. Des organisations internationales, dont l’OMS, ainsi que des associations de consommateurs, ont exprimé leur inquiétude face à cette tendance qui pourrait compromettre le droit des citoyens à une information claire et accessible. » explique l’Eurodéputé.